La Banque mondiale estime que le taux d’accès à l’électricité en Afrique subsaharienne est de 47 % en moyenne, contre près de 100 % dans la plupart des pays du monde.

Dans une étude de 2019, l’ADC a estimé que l’investissement nécessaire pour couvrir la production, la transmission et la distribution d’électricité s’élève en moyenne à 32 millions de dollars par an. Le déficit important d’infrastructures de production et de distribution d’électricité sur le continent a constitué un frein à la croissance et au développement économique au sens large. À ce jour, seuls quelques pays africains sont en passe de parvenir à l’accès universel à l’électricité ainsi qu’à une transition énergétique adaptée au changement climatique d’ici 2050. Pour aider à relever ce défi, l’AFC collabore avec des développeurs locaux et internationaux pour concevoir, financer et réaliser des projets greenfield et développer des infrastructures de production et de transmission brownfield. L’AFC opère des financements par le biais de divers instruments de financement, notamment de la dette senior, de la dette mezzanine, des obligations convertibles et des fonds propres.

Nous avons conclu divers partenariats stratégiques dans le but de positionner l’AFC comme une institution de financement de choix en matière de lutte contre le changement climatique sur le continent. L’AFC est devenue en 2015 la première institution africaine de financement du développement à être accréditée par le Fonds vert pour le climat (GCF). Le GCF soutient les efforts des pays en voie de développement visant à répondre au défi du changement climatique. De plus, nous avons obtenu en septembre 2017 une ligne de crédit de 100 millions d’euros pour le financement de projets en faveur du climat auprès de l’Agence française de développement (AFD) afin d’améliorer notre capacité concurrentielle à financer des projets respectueux du climat.

En raison de la nécessité cruciale de construire des infrastructures électriques de meilleure qualité sur le continent, l’AFC a également investi dans un certain nombre de projets de combustibles fossiles, d’hydroélectricité et d’énergies renouvelables qui visent à améliorer l’électrification dans toute l’Afrique. L’un des aspects clés de cette démarche a été de mettre en place des cadres de maintenance à long terme afin de s’assurer que les actifs fonctionnent efficacement, conformément à leur potentiel technique, et ce, le plus longtemps possible.

Notre proposition de valeur est d’être le partenaire/financeur privilégié pour tous les projets de production d’électricité en Afrique et de mettre en place dans le même temps une plateforme d’énergie renouvelable de premier plan. Conscient que l’Afrique doit encore se doter d’une capacité de production électrique de base, l’AFC entend également rester un leader dans la production d’énergie conventionnelle qui exploitera les sources d’énergie disponibles au niveau local tout en minimisant l’empreinte environnementale de la production d’énergie.

Nos segments de marché sont la production (sur réseau et hors réseau), la transmission et la distribution. L’un des principaux goulots d’étranglement dans la mise en place de projets potentiellement impactants est la faible capacité à rendre les projets bancables sur le continent. L’AFC travaille avec les développeurs, les régulateurs nationaux et d’autres importantes parties prenantes pour élaborer des documents standard (accords d’approvisionnement en énergie, accords de mise en œuvre, accords d’interconnexion de transmission, garanties de risque partiel, etc.) qui favorisent la mise en place et la reproduction de projets électriques bancables. Nous avons eu recours à des options de financement innovantes pour raccourcir le délai entre l’étude de faisabilité du projet et la clôture financière de plus de 7 ans à moins de 3 ans en recourant entièrement au financement par capitaux propres ou aux prêts relais pour les projets admissibles. Ainsi, les retombées positives de ces projets se feront ressentir plus rapidement dans les pays cibles.

L’AFC offre des solutions et un appui de bout en bout à tous nos sous-secteurs cibles. Nous déployons du financement pour le développement de projets afin de financer des expansions ou des rachats d’entreprises ou d’actifs existants. Nos services sont adaptés aux besoins de chaque sponsor ou projet. Sous réserve de la disponibilité de documents de projet de qualité, l’AFC est très réactive dans l’évaluation des attributs d’un projet donné et dans la finalisation rapide du processus d’investissement. Nos interventions prennent généralement les formes suivantes :

• Crédits de financement de projet (dettes seniors et mezzanines)
• Prêts aux entreprises
• Produits structurés
• Fonds propres et quasi-fonds propres

Nos partenaires bénéficient en outre de manière significative de notre vaste réseau de contacts, de notre solide expertise technique et financière, ainsi que de nos relations solides avec les gouvernements, les institutions de financement du développement, les institutions financières internationales et les banques commerciales.

L’AFC apporte une compréhension unique des défis auxquels sont confrontées les entreprises africaines d’une part et des exigences des investisseurs potentiels d’autre part. Cela fait de nous le partenaire idéal en matière d’investissement dans les infrastructures en Afrique.

L’AFC a financé et investi avec succès dans des projets énergétiques clés en Afrique, pour un montant cumulé de décaissements d’environ 1 milliard de dollars américains répartis sur 10 pays africains. Parmi les principaux projets, on peut citer :

• Parc éolien de 26 MW de Cabeolica, Cap-Vert
• Projet éolien de 60 MW à Djibouti, Djibouti
• Projet hydroélectrique de 420 MW de Nachtigal, Cameroun
• Centrale hydroélectrique de 44 MW de Singrobo, Côte d’Ivoire
• Centrale électrique à tourbe de 80 MW de Hakan-Quantum, Rwanda
• Centrale IPP Cenpower de 340 MW de Kpone, Ghana
• Centrale électrique 1 300 MW de Kainji/Jebba, Nigeria
• Projet Kekeli Efficient Power de 65 MW, Togo
• Centrale électrique de 700MW d’Ughelli, Nigeria
• Extension du réseau de KPLC, Kenya

Nous avons investi dans la majorité des projets ci-dessus à un stade greenfield et avons pu offrir à nos clients des produits de long terme à des prix compétitifs.

Le secteur de l’industrie lourde, des télécommunications et de la technologie (HITT) apporte des capitaux et de l’expertise pour le développement, l’expansion et l’exploitation de projets et d’entreprises qui offrent des avantages en termes de diversification, d’industrialisation et de modernisation pour l’Afrique et qui contribuent à une croissance durable à long terme du continent.

Le secteur de l’HITT se focalise sur les projets industriels qui visent à transformer les abondantes matières premières de l’Afrique en produits manufacturés, afin de booster les exportations et de réduire la dépendance aux importations. Le secteur vise également à orienter la croissance du continent via l’investissement dans les infrastructures de technologie et de numérisation, qui sont censées conduire la prochaine phase de la révolution industrielle.

Les investissements de l’AFC dans le secteur de l’industrie lourde sont divers et consistent en quatre sous-produits – plus précisément les produits chimiques (raffineries, pétrochimie, engrais et transformation du gaz naturel), les matériaux de construction (ciment et verre flotté), les intrants industriels des entreprises (embouteillage, pâte à papier et papier) et les métaux (acier et enrichissement des minéraux).

Notre secteur des télécommunications et de la technologie est axé sur le soutien de l’expansion et de la mise à niveau des réseaux pour les opérateurs de réseaux mobiles, le financement de l’infrastructure numérique (par exemple, les réseaux de fibres, les tours et les centres de données) et le capital de croissance pour les entreprises spécialisées dans la technologie.

Nous ciblons les projets qui offrent des avantages économiques transformateurs à travers le continent, notamment la création d’emplois directs et indirects, la facilitation de l’entrée dans les chaînes de valeur, la stimulation du commerce, des exportations et du traitement de la valeur ajoutée et, pour les gouvernements, l’amélioration de la balance des paiements et des recettes fiscales.

L’AFC a financé des projets dans les domaines du raffinage du pétrole brut, du ciment, de l’ammoniac/urée et des phosphates en Afrique occidentale, en Afrique orientale et centrale et en Afrique du Sud.

Nous avons fourni 300 millions de dollars américains sous forme de dette senior à Dangote Industries pour co-financer la construction d’une raffinerie de pétrole brut d’une capacité de 650 000 barils par jour (bpj) et d’une usine d’engrais à base d’urée d’une capacité de 2,8 millions de tonnes par an (mtpa) au Nigeria. La raffinerie permettra de doubler la capacité actuelle du Nigeria en matière de raffinage, et de rendre le pays autosuffisant en carburant. Lorsqu’elle sera opérationnelle, la raffinerie devrait permettre d’améliorer la balance commerciale du pays de 8,8 milliards de dollars américains, d’augmenter le PIB de 13 milliards de dollars américains (2,3 % du PIB total) et d’accroître les recettes publiques de 3,3 milliards de dollars américains.

En Égypte, l’AFC s’est associée à Carbon Holdings, un développeur et opérateur du secteur pétrochimique, pour mettre en place une plateforme pétrochimique intégrée à grande échelle (usine de polypropylène, usine de nitrate d’ammonium et unité de craquage de naphta) en Égypte afin de tirer parti de la situation géographique stratégique du pays.

En tant qu’unique Mandated Lead Arranger (arrangeur principal mandaté), l’AFC a réussi à lever une facilité de 577 millions d’euros pour permettre à la SIR de rembourser ses obligations historiques sur son approvisionnement en brut, de fournir une facilité de longue durée et de réduire le taux d’intérêt de l’encours de la dette de la SIR. La SIR dispose à ce jour de la plus grande et de la plus sophistiquée des raffineries opérationnelles en Afrique de l’Ouest. La facilité de l’AFC faisait partie intégrante des conditions du programme financier du Fonds monétaire international (FMI), ce dernier considérant la SIR comme un actif stratégique pour le pays.

L’AFC a également accordé une facilité de dette à double devise de 35 millions de dollars américains pour la mise en place d’une raffinerie modulaire de 5 000 barils par jour sponsorisée Waltersmith Petroman Oil Limited, un producteur de pétrole et de gaz en amont au Nigeria.

L’AFC a financé le développement de la fibre terrestre et des centres de données de MainOne Cable Company. Le système de fibres MainOne est un système de câbles sous-marins à fibres optiques qui relie les pays de la côte ouest de l’Afrique à l’Europe et à d’autres parties du monde. Le système de câble consiste en environ 7 000 km de câble à fibre optique entre le Portugal et le Nigeria avec des raccordements vers les îles Canaries, le Maroc, le Sénégal, la Côte d’Ivoire et le Ghana. MainOne a également construit et mis en service un centre de données Tier 3 qui vient compléter son activité de connectivité. Le centre de données est opérationnel et a commencé à offrir des services à un segment plus large de la communauté des affaires.

MainOne a considérablement amélioré la connectivité et l’accès au niveau régional, avec des réductions significatives des coûts de technologie/large bande destinés aux entreprises et aux consommateurs locaux. De plus, la location et la vente de capacité aux principaux opérateurs de télécommunications locaux ont généré beaucoup d’activité et de revenus pour ces entreprises, favorisant ainsi la croissance du secteur. MainOne a été le pionnier en matière de pénétration de la large bande dans les pays africains et le projet crée un meilleur accès pour les établissements d’enseignement à un plus grand réservoir de connaissances et d’informations. L’AFC a récemment mis fin à son investissement dans MainOne par le biais d’un investisseur stratégique, Equinix. Cette opération marque la première entrée de la société sur le marché africain - via le Nigeria, la première économie et la plus peuplée du continent.

L’AFC est stratégiquement positionnée pour maximiser la valeur en tirant parti de ses capacités internes en matière de développement de projets et en fournissant une expertise technique et un capital de départ pour des projets portant sur des ressources naturelles de haute qualité, en plus de soutenir des projets à un stade avancé aux côtés de promoteurs de projets expérimentés.

La demande actuelle et prévue et la flambée des prix des métaux de transition résultent de l’offre de la transition énergétique. Le pétrole et le gaz restent la base de la sécurité énergétique mondiale tandis que la transition vers l’énergie propre se met en place. La technologie continuera à évoluer pour favoriser l’inclusion du gaz (et éventuellement du pétrole) dans la transition vers les énergies propres.

Notre secteur minier se focalise sur les métaux de base et les métaux précieux, avec un accent sur les métaux destinés à la production d’énergie électrique qui sont essentiels pour permettre la « révolution verte » au fur et à mesure que le monde passe des combustibles fossiles à une énergie plus propre.

Notre secteur pétrolier et gazier est axé sur l’exploration et la production de pétrole et de gaz – mais il se tourne de plus en plus vers les actifs basés sur le gaz afin d’améliorer les opportunités d’utilisation du gaz sur le continent, ouvrant ainsi d’autres voies de préparation de l’Afrique à la transition énergétique mondiale.

L’équipe chargée des ressources naturelles offre des financements traditionnels sous forme de fonds propres, quasi-fonds propres et mezzanine, des dettes à long terme et des facilités de fonds de roulement à divers projets miniers, pétroliers et gaziers en Afrique.

De plus, la rareté du financement de projet par la dette augmente l’intérêt pour le financement alternatif des mines. L’AFC propose donc des options de financement de flux et de redevances.

Nous faisons constamment preuve d’un grand intérêt et d’une forte capacité d’investissement principal en ce qui concerne les transactions liées aux ressources naturelles, car nous combinons une importante capacité technique et de structuration interne avec une volonté d’engager notre bilan.

Transactions dans le secteur minier :

• 44 millions de dollars américains de dette senior, de dette mezzanine et d’investissement en fonds de roulement dans Lucara Botswana Ltd, pour l’expansion de la mine de diamants de Karowe au Botswana

• 85 millions de dollars américains de dette et d’investissement en fonds propres dans Dynamic Mining pour le projet d’exploitation de bauxite de Bon Ami en Guinée

• 10 millions de dollars américains de facilité pour les travaux préliminaires de Dynamic Mining dans le cadre du développement du projet d’exploitation de bauxite de Bon Ami en Guinée

• Montage financier de 86 millions de dollars américains à Thor Explorations pour la réalisation du gisement d’or de Segilola au Nigeria

• 150 millions de dollars américains de dette senior et d’investissement en fonds propres dans Danakali Limited, pour la réalisation du projet de potasse Colluli en Erythrée.

• 244 millions de dollars américains d’investissement en fonds propres dans Nouvelle Gabon Mining pour le développement et la construction des gisements de bauxite de Franceville et d’Okondja au Gabon

• 70 millions de dollars américains d’investissement en fonds propres et en obligations convertibles dans Alufer Mining pour le développement et la construction de la mine de bauxite de Bel Air en Guinée

• 40 millions de dollars américains d’investissement dans une facilité de financement de pré-exportation de 110 millions de dollars américains en faveur de Shalina Resources Limited pour la construction de la mine de cuivre et de cobalt Étoile en République démocratique du Congo

Transactions dans le secteur du pétrole et du gaz :

• 45 millions de dollars américains d’investissement dans une facilité d’achat de créances de 400 millions de dollars américains à la Sociedade National de Combustives pour financer le capital et les dépenses d’exploitation, en Angola

• 200 millions de dollars américains d’investissement en obligations convertibles dans Aker Solutions A.S. pour le développement du champ Pecan, au large du Ghana
  
  
• 45 millions de dollars américains de facilité de prêt basée sur les réserves à Svenska Petroleum Exploration pour l’expansion du champ Baobab, au large de la Côte d’Ivoire

• 28 millions de dollars américains de facilité subordonnée à Topic S.A. pour les activités d’entrée en production du gisement pétrolier Halk El Menzel au large de la Tunisie

• 30 millions de dollars américains de facilité d’acquisition RBL à Assala Energy Holdings pour l’acquisition des actifs onshore de Shell au Gabon

• 30 millions de dollars américains de facilité de prêt basée sur les réserves aux coentreprises Chevron Nigeria Limited/Nigerian National Petroleum Corporation, pour les investissements de forage dans les coentreprises

• 70 millions de dollars américains d’investissement dans une facilité de prêt basée sur les réserves de 2 milliards de dollars américains à Petrobras Oil and Gas B.V. pour financer le développement du champ offshore Egina, au Nigeria

• Co-Arrangeur principal mandaté pour 1,3 milliard de dollars américains en faveur de la Société des Hydrocarbures Du Tchad (SHT Tchad)

• 75 millions de dollars américains de facilité de dette senior et de ligne de crédit de couverture des matières premières à Trans-Niger Oil & Gas Limited, pour financer l’acquisition de l’OML 17 au Nigeria

• 1,2 milliard de dollars américains de facilités de dette senior et subordonnée pour Kosmos Energy au Ghana

• Co-arrangeur principal pour 640 millions de dollars américains au titre de la facilité de financement d’acquisition en faveur de Neconde Energy Limited au Nigeria

• 75 millions de dollars américains d’investissement et Arrangeur principal pour la facilité mezzanine senior de 425 millions de dollars américains en faveur de New Age Africa Global

Les infrastructures de transport et de logistique constituent une partie essentielle des énormes besoins en infrastructures de l’Afrique et constituent la clé pour débloquer le potentiel de croissance économique de l’Afrique grâce au commerce intracontinental et mondial. Le transport est un facteur de développement et de croissance économique durable et la volonté de l’AFC de combler le déficit en infrastructures de transport passe par la fourniture de l’interconnectivité physique qui facilitera et développera le commerce national, régional et international, et permettra de réduire le coût des affaires et de rendre les nations africaines plus compétitives, tant sur le continent qu’au niveau mondial.

La mission du secteur du transport et de la logistique est de faciliter la mise en place d’infrastructures de transport et de logistique, qui permettront de libérer le potentiel des secteurs stratégiques clés des pays. L’équipe chargée du transport et de la logistique se concentre sur la création et la réalisation de transactions qui offrent un potentiel de profit élevé et un impact sur le développement. Cela inclut les opportunités de projets greenfield et brownfield dans le domaine des routes, des zones économiques spéciales, des parcs de stockage, du stockage/distribution, des chemins de fer, des aéroports, des ports, de la logistique électronique, des douanes électroniques, des postes de frontière, etc. L’équipe investit dans toute la structure du capital, et offre à ses clients des solutions de dette, de quasi-fonds propres, de fonds de roulement et de fonds propres.

L’une des principales stratégies de l’équipe des transports et de la logistique consiste à mettre en place de grandes plateformes de transport afin d’aider les économies africaines qui cherchent à améliorer leurs infrastructures portuaires et routières pour une meilleure circulation des biens et des services. Ces plateformes seront en outre vendues dans le cadre de ventes commerciales ou de listings d’ici 2023. L’équipe travaille en étroite collaboration avec d’autres secteurs pour veiller à ce que les infrastructures de transport et de logistique appropriées soient un catalyseur essentiel.

Le secteur conçoit des solutions logistiques adéquates impliquant plusieurs utilisateurs dans le but de réduire les coûts unitaires afin de favoriser l’exploitation des richesses et des ressources naturelles de l’Afrique.

• 140 millions de dollars américains pour une prise de participation de 21 % dans la Zone économique spéciale du Gabon (GSEZ), désormais rebaptisée Arise et réorganisée en 3 pôles distincts : Arise Port and Logistics (port et logistique), Arise Integrated Industrial Platforms (plateformes industrielles intégrées) et Arise Infrastructure Services (Infrastructure de services)

• 55 millions de dollars américains de dette senior et mezzanine et d’investissement en fonds propres dans le pont Henri Konan Bedie, Côte d’Ivoire – conception, construction, exploitation et entretien d’un pont à péage de 1,5 km et de 6,6 km de routes d’accès

• Un montage financier de 158 millions de dollars américains comprenant des fonds propres et une dette mezzanine et senior pour l’expansion du port de Takoradi dans la région de Takoradi au Ghana

• 150 millions de dollars américains d’obligations convertibles pour l’expansion de la plateforme industrielle intégrée ARISE (AIIP) composée d’entreprises de zones économiques spéciales au Gabon (foresterie), au Togo et au Bénin (noix de cajou et coton)

• 60 millions de dollars américains de financement d’acquisition à Connex Oil & Gas Holdings pour l’acquisition de la filiale de Total en Sierra Leone et au Liberia

• 160 millions de dollars américains de financement par emprunt à Arise Mauritania, pour la construction d’un nouveau terminal à conteneurs, d’une capacité initiale de 250 000 EVP qui a le potentiel de s’étendre à 600 000 EVP et d’un terminal pétrolier pour accueillir des navires pétroliers et gaziers d’une capacité pouvant atteindre 50 000 DWT

• 20 millions de dollars américains d’investissement en capitaux propres, dans le cadre d’un financement d’acquisition post-achèvement de 160 millions de dollars américains pour la construction de la route à péage de Bakwena, en Afrique du Sud, un tronçon de 95 km de l’autoroute N1 partant de Pretoria vers le nord et un tronçon de 290 km de l’autoroute N4 partant de Pretoria vers l’ouest jusqu’à la frontière du Botswana